Thérapie Globale Active
Fonctionnement de la Thérapie Globale Active
La Thérapie Globale Active (TGA) s’inspire de diverses approches, notamment la stimulation sensorielle (EMDR, IMO, DESCOPEMS, etc.), les neurosciences, la Méthode Tomatis, les théories du Pr H. Laborit, la Bioénergie du Dr A. Lowen, la Sophrologie Analytique de l’École Française du Dr J.P. Hubert et la Psychologie des Profondeurs de C.G. Jung, ainsi que de la symbolique des rêves. J’ai ainsi conçu une méthode complète et très efficace pour traiter un large éventail de pathologies. En effet, l’émotion et le corps constituent le chemin le plus direct pour créer de nouvelles connexions neuronales, permettant à notre cerveau, qui est très plastique, de se libérer de comportements et symptômes pathologiques et répétitifs, qu’ils soient psychosomatiques ou psychologiques.
La TGA est généralement une thérapie brève, se déroulant sur 5 à 10 séances en moyenne, espacées de 2 à 4 semaines, selon les besoins et les possibilités du consultant.
Lorsqu’il s’agit de vécus traumatiques, y compris ceux survenus durant la première année de la vie, le cerveau apprend de l’expérience et adapte ses réactions pour garantir la « survie » de l’individu, évitant ainsi toute situation perçue comme « dangereuse ». Cela peut engendrer des comportements pathologiques (comme les TOC, phobies, angoisses, dépression) ou des symptômes physiques (maladies fonctionnelles). L’événement traumatique provoque un apprentissage et l’acquisition d’un modèle de comportement de défense, dont la répétition, souvent inadaptée à la réalité actuelle, empêche l’individu d’acquérir de nouvelles capacités plus adaptées à ses besoins réels. Ce phénomène crée un cercle vicieux.
Grâce à l’analyse des rêves, nous identifions ces cibles émotionnelles. En actualisant la scène traumatique par l’introspection et en utilisant une stimulation sensorielle alternée – qui diffère toujours de la sensorialité de la scène originale – nous pouvons découvrir des ressources ou des détails qui n’ont pas été intégrés lors du choc traumatique. Cela permet de redonner un sens à ces souvenirs ou d’en révéler un jusqu’alors caché.
Le processus consiste à stimuler le néocortex temporal (associé aux sens) afin que le paléocortex (système émotionnel) puisse revivre la situation traumatique sans censure, séparant ainsi la raison (néocortex préfrontal) du ressenti (paléocortex ou système limbique) grâce à la stimulation sensorielle. Cette “distraction” du néocortex permet à notre corps et à notre émotionnel de regarder une situation négative passée sous un nouvel angle, en utilisant les ressources présentes pour transformer cette expérience, même si la scène traumatique n’offre initialement rien de positif.
Nous intégrons ainsi cette scène dans notre compréhension actuelle de manière globale et différente, en activant des ressources qui étaient auparavant neutralisées par des croyances négatives de survie enracinées dans le passé. Ces ressources modifient le ressenti d’origine en permettant une réaction expressive appropriée (bioénergie). Elles dénouent le nœud émotionnel (système limbique), permettant à cette expérience d’être intégrée dans le néocortex préfrontal comme une information ordinaire, dépouillée d’affects négatifs.
De cette manière, nous devenons libres de nos choix actuels, adaptés à la situation présente, au lieu de rester prisonniers d’un fonctionnement pathologique automatique de défense et de survie. Enfin, toujours sous stimulation sensorielle alternée, le consultant revit la scène originale en l’altérant, intégrant les découvertes faites durant la thérapie, ce qui transforme souvent l’idée négative qu’il se faisait de lui-même.
Nous avons la capacité de changer le passé, car nous pouvons modifier les effets d’un passé traumatique dans notre cerveau, ici et maintenant, grâce à sa plasticité. La réorganisation de notre système de références et de notre cerveau se produit en éliminant le conditionnement (la cause) qui menaçait notre survie. Après la thérapie, notre cerveau a désappris des comportements ou symptômes qui, autrefois adaptés, ne le sont plus. Il peut désormais acquérir de nouvelles manières d’agir, alliant la conscience de nos anciens comportements à la compréhension de leurs origines, tout en intégrant, grâce à la sophrologie, de nouvelles compétences qui ouvrent la voie à une réalité plus positive et enrichissante.
« Ce qui ne parvient pas à la Conscience revient sous la forme du Destin. » — C.G. Jung
Fonctionnement de la Thérapie Globale Active
Inspirée par la stimulation sensorielle (EMDR, IMO, DESCOPEMS etc), les neurosciences, la Méthode Tomatis, les théories du Pr H. Laborit, la Bio-Energie du Dr A.LOWEN, la Sophrologie Analytique de l’Ecole Française du Dr J.P. Hubert, la Psychologie des Profondeurs de C.G.JUNG, avec la symbolique des rêves…, j’ai conçu une méthode, la Thérapie Globale Active, une méthode complète et très efficace pour venir à bout d’un large éventail de pathologies. L’émotion et le corps sont le chemin le plus direct pour créer de nouvelles connexions neuronales qui vont aider notre cerveau (très plastique) à sortir des comportements et symptômes (psychosomatiques et psychologiques) pathologiques et répétitifs.
Généralement, la TGA, est une thérapie brève, de 5 à 10 séances en moyenne, espacées de 2 à 4 semaines selon les possibilités et les besoins du consultant.
Dans le cas d’un vécu traumatique ou de vécus traumatiques répétés, même vécus dans l’étape primale (première année de la vie), le cerveau apprend de l’expérience et adapte ses réactions pour assurer la « survie » de l’individu, en évitant une situation de « danger ». Il met en place des comportements pathologiques, (tocs, phobies, angoisses, dépression…) ou des symptômes physiques (maladies fonctionnelles)… Il se prépare et s’organise : l’événement provoque un apprentissage, l’acquisition d’un modèle de comportement (de défense), et la répétition de ce modèle (souvent inadapté à la nouvelle réalité) empêche d’acquérir de nouvelles capacités, plus adaptées au présent, aux choix libres du sujet et à ses besoins réels. C’est un cercle vicieux.
Avec l’analyse et les rêves, nous allons dénicher certaines de ces cibles, pour, grâce à l’actualisation de la scène, en introspection, et à la stimulation sensorielle alternée, qui sera toujours différente de la sensorialité de la scène originale, trouver des ressources ou des détails qui ne sont pas retenus dans le choc traumatique ou le moment originel et qui vont changer le sens du vécu ou lui donnent un sens jusqu’alors caché.
Cela se fait en stimulant le néocortex temporal (sens) pour que le paléocortex (émotion) puisse revivre la situation traumatique sans censure, séparer la raison (néocortex préfrontal) du ressenti (paléocortex ou système limbique) grâce à la stimulation sensorielle (qui, elle, dépend du néocortex temporal).
Cette « distraction » du néocortex (la raison) donne le recul nécessaire à notre corps et notre émotionnel, pour regarder une situation négative passée d’un angle différent, grâce aux ressources du présent, en allant même la transformer, en lui donnant un sens, si la scène traumatique ne permet pas, en soi, de trouver quoi que ce soit de positif.
Nous pouvons enfin intégrer cette scène dans notre compréhension, notre vie actuelle, d’une façon globale et différente grâce aux ressources présentes en nous tous, mais qui étaient neutralisées par la croyance négative de survie enracinée dans le passé.
Elles viennent modifier le ressenti d’origine, avec une réaction expressive appropriée (bioénergie). Ces ressources défont le nœud émotionnel (système limbique) qui va s’intégrer dans le néocortex préfrontal comme une information ordinaire, donc absente d’affects négatifs.
Alors nous devenons libres de nos choix actuels, adaptés à la situation présente et pas dans un fonctionnement pathologique automatique de défense et de survie. En plus, pour finir et toujours sous une stimulation sensorielle en alternance, la personne va revivre la scène originale en la changeant, en intégrant ce qu’elle a découvert aujourd’hui, et qui transforme l’idée négative que souvent, elle se faisait d’elle-même.
Nous pouvons changer le passé, parce que nous pouvons changer les effets de ce passé traumatique dans notre cerveau, au présent, ici et maintenant, grâce à sa plasticité. Notre système de références et l’organisation de notre cerveau changent en éliminant le conditionnement (la cause) qui menaçait la survie.
Notre cerveau, après la thérapie, a désappris un comportement ou un symptôme, qui, dans le passé, était adapté et qui n’est plus actuel. Notre cerveau, peut maintenant apprendre une nouvelle façon d’agir, de faire : d’un côté la conscience de notre comportement (pathologie ancienne) et le pourquoi de ce comportement, et de l’autre côté, grâce à la sophrologie, l’acquisition de nouvelles compétences qui amènent à une nouvelle réalité, plus positive et intéressante pour l’individu.
« Ce qui ne parvient pas à la Conscience revient sous la forme du Destin » C G Jung